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Messages - Ivanne

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1
Bonjour à toutes !!
Bon, pour commencer, j'espère que Gribouille va mieux.

J'ai lu les messages suivants, celui de Pomme était long et très bien, celui des autres aussi !!

Moi, je voudrais vous dire... arrêter de vous angoisser !!
On parle ici de maternité, de naissance, d'amour, de don (de gamètes)... que des choses belles et positives, non ?

Je suis maman d'un garçon de 8 ans (conçu par chance juste avant ma ménopause précoce) et d'une petite puce de 16 mois... née d'un don d'ovocyte... en Thailande.
(je sais c'est un peu loin et niveau ressemblance avec moi c'est mal barré, mais j'avais repéré de supers taux de réussite, de l'ordre de 60% et moi, ça a marché du 1er coup, grâce aux spermatozoïdes de mon mari, aux ovocytes de compet de la jeune donneuse et à la super équipe médicale !)

Et j'avais 41 ans à sa naissance !
Alors, l'angoisse de la "vieille" maman, je connais un peu...
Mais pas tant que cela,car ma maman m'a eu à 41 ans aussi (j'ai un grand-frère de 13 ans et demi de plus que moi, même parents, sans aide médicale, mais avec souci de fertilité pendant quelques années).

Donc, j'avais de vieux parents (bon, c'est le regard des autres qui est chiant !!) mais aimants et c'est ça l'important !

C'est plus facile pour moi, qui vit en Région Parisienne, car il y a pas mal de parents quarantenaires, ici !

J'ai lu pleins de livres avant de me lancer dans la procédure de Fiv Do. Il faut que je vous note les références.
ça peut aider certaines d'entre vous.

Après l'anonymat des donneurs, je suis contre, c'est aussi pour cela que j'ai fait appel à la Thailande, pour avoir quelques infos à transmettre à ma fille quand elle voudra en savoir plus.

A très bientôt !

2
Bonjour !
Les post de cette discussion sont anciens, mais je souhaite apporter des pistes de réponse : j'ai été en Thailande au Safe Fertility Center de BANGKOK en aout 2014 pour un don d'ovocyte (je souhaitais avoir une photo de la donneuse et des informations d'hérédité médicales, ce qui est possible avec la législation thaï) et... ça a marché du 1er coup !
Ma donneuse, de 24 ans, a "donné" une trentaine d'ovocytes (tout pour moi!), dont 33 matures qui ont donné des embryons mis en culture. 10 ont été analysés, 3 étaient en bonne santé (test trisomie et sexe à J+3) et l'un a été implanté à J+5.
Les 2 restants sur les 10 analysés et 3 autres (bien développés) ont été congelés pour 1 an, en cas d'échec de la première implantation.
Tout a super bien marché !
C'est une super clinique, où les échanges se font essentiellement en anglais, mais aussi en chinois, japonais et bien sur thaï (mais pas français). Le protocole coûte environ 8000€ (avec part pour la donneuse, suivi médical et tests ADN FISH avant implantation).
Malgré la ménopause précoce( après la naissance de mon premier enfant) à 36 ans, une ménopause effective avant mes 39 ans...
J'attend une petite fille pour le mois de mai 2015 !

PS  note de l'association : il est de notre devoir de vous rappeler que quelque soit  la qualité médicale de ces cliniques situées en Asie, elles ne respectent pas les critères  appliqués dans l'Union Européenne en matière de PMA , ni surtout les critères éthiques français a savoir l'anonymat et la gratuité du don

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Aspects psychologiques infertilité- PMA / Re : Vivre avec le don
« le: 25 novembre 2014 à 20:48:38 »
Coucou Mimi 15, Capucine, Fatoum, et toutes les autres !

Merci de vos témoignages et questionnements !

Je trouve qu'il est très important de réfléchir avant le don (lecture, rencontre avec un bon psy, discussion à bâtons rompus avec des amies, etc.) et pendant la grossesse (on a quelques mois pour cela!) à tout ce que cela implique, une grossesse, l'arrivée d'un enfant, le processus du don (l'abandon du réflexe de la transmission automatique de ses gènes, la question de l'existence de la donneuse ou du donneur...) pour recueillir ses propres réponses, pour être en paix avec soi, pour interagir avec les autres sans crainte, et pour l'enfant à venir.
Et avoir fait, comme Anne l'a noté, le deuil de l'enfant génétique (ça prend du temps).

Le rejet du don est, je pense, assez fréquent, spontané, plus que pour l'adoption, pour les gens qui n'ont pas été confronté à l'impossibilité d'avoir un enfant "naturellement".
Ma mère a suffisamment heurté avec son "Mais, il n'aura pas tes GENES !!!"...
et alors ? J'ai des gènes de prix Nobel de sciences ou de Miss Univers ?? Non, même pas !
:-)

Pour les angoisses liées à la possible difficulté à tisser le lien avec le bébé à venir, moi, je dirais que la relation se créée avec le temps, quel que soit le mode de conception de l'enfant !

Mon premier enfant est arrivé naturellement (par surprise!) et pourtant, enceinte, j'avais l'impression d'héberger un petit alien, sympathique certes, mais "autre", tout à fait étranger, passager clandestin dans mon corps.
C'était une pensée très présente et dérangeante, assez difficile à assumer (on est sensée être heureuse de se sentir "pleine", non ?)
Bon, ça ne m'a pas empêcher d'en parler, même à l'époque : même pas la honte de ne (déjà) pas être une mère parfaite, aimante, par avance, et épanouie ! Assumons nos failles,  nos craintes !

A la naissance et les semaines suivantes, je l'ai scruté mon petit bébé, cherchant les ressemblances, et les dissemblances (mais où avait-il péché ses grandes oreilles??!) cherchant à apprivoiser son "étrangeté"... de nouveau né, tout ce qu'il y avait de plus normal !

On devient une maman au fil des mois, comme le papa qui n'existe en temps que tel que par la relation qui se met en place avec son enfant.
J'aime, je pense, infiniment plus mon fils maintenant que lorsqu'il n'avait que quelques heures, je le connais, je le reconnais comme mien.
On croit souvent, surtout avant d'avoir un enfant, que l'on va le reconnaître et l'aimer aussitôt, au premier regard, et quand le processus n'est pas immédiat, de nombreuses mères sont désemparées, se sentent de mauvaises mères. Je pense qu'il faut arrêter de se mettre la pression :
Accueillir un petit bébé, c'est toujours accueillir un petit inconnu, avec des gènes et un caractère bien à lui (même si là encore, on joue vite aux jeux des ressemblances : "Oh, il est colérique comme...") ;-)

J'attend maintenant une petite fille pour mai 2015, grâce à un don d'ovocyte. J'ai réfléchi pendant plus d'un an avant de me lancer. Bizarrement, je suis plus sereine qu'à ma première grossesse, car je sais que si elle est aussi une petite inconnue, elle est aussi très attendue, porteuse d'espoir, précieuse, tout comme son ainé.

Alors, oui, Mimi, prépares-toi aux réflexions, mais reste bien droite dans tes bottes:
 si tu es claire par rapport à cette grossesse (on s'en fout de la façon dont a été fait un bébé, est-ce qu'on demande aux gens quelle position ils ont prise pour le faire... naturellement ??!) quand le mode de conception de ton enfant ne te posera plus trop de problèmes, je suis sure que les réflexions continueront de t'énerver, mais bon, chacun son vécu, le tien sera plus riche, ta pensée plus accueillante à la différence... des autres et de ton enfant à venir !

Et je suis sure que, par mimétisme, déjà, il te ressemblera beaucoup !!

Et Katouss, c'est une bonne idée le double don, de sauter vers l'inconnu à deux et d'essayer d'avoir un enfant vierge de toute névrose familiale, du moins en matière d'héritage génétique ! ça vaudrait sans doute le coup de vous faire accompagner sur ce chemin pour vous délester de certains bagages familiaux encombrants avant l'arrivée d'un petit.

Et Juma, au niveau des ressemblances :
moi, j'entend toujours que mon fils ressemble à son père (blond aux yeux bleus), parce qu'il est blond aux yeux verts (comme ma mère!) et que je suis brune (à l'âge adulte!) aux yeux noisette !
Les gens de ma famille repère la ressemblance, à mon avis plus nette de mon côté, mais les autres se basent sur la couleurs des cheveux.
Alors, ça m'énerve un peu qu'on ne voit pas qu'il me ressemble, mon fils, mais je me souviens que petite fille, je détestais que les gens me disent que je ressemblais à mon père (brun aux yeux bruns) car je voulais être comme ma maman (jolie, quoi !) et que ressembler à un homme, même son père, c'est pas un compliment pour une petite fille ! ;-)
Donc, l'important, ce serait de dire que le petit garçon ressemble à son père et la petite fille à sa mère, quelques soit leurs traits, pour que l'un soit valorisé dans sa masculinité et l'autre dans sa féminité.
Et puis, même "portrait craché" (pour mon fils, de son oncle maternel!) il a aussi de son papa, la fossette au menton (jolie signature!).
Donc,  Juma, tu trouveras certainement des traits au bébé à venir qui seront de ton "côtés" ou que les autres percevront comme tel : "C'est tout le portrait de son papa, avec les beaux yeux/la bouche rieuse/le petit nez... de sa maman!"
Et pour les réflexions blessantes typique de l'adolescence que tu as évoqué, c'est une inquiétude légitime, mais si tu lis "Enfants du don" (cf. ci-dessous) tu verras que les enfants nés du don qui témoignent se sentent tant aimés qu'ils ne rejettent pas leurs parents, ceux qui les ont élevés et aimés.
Espoir et confiance en l'avenir de nos petits amours !

Je vous conseille à toutes/tous les ouvrages (et articles) de Geneviève Delaisi de Parseval, comme son dernier "Voyage aux pays des infertiles" chez Odile Jacob (sept.2014)
+ "Origines de la vie... vertiges des origines." Colloque sous la direction de René Frydmann et Muriel Flis-Trèves, PUF
+ "Enfants du don, procréation médicalement assistée : parents et enfants témoignent", Domique Melh, Robert Laffont
+ "La dette de vie. Itinéraire psychanalytique de la maternité", Monique Bydlowski, PUF.

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Coucou Renaissance,
je relis tes posts et tes questions et je veux t'envoyer tout mon soutien pour tes difficultés au travail (quelle plaie, j'ai connu ça au retour de mon premier congé mat... puis un licenciement pour insuffisance professionnelle).

Pour tes questions :
- "est-ce que l'entourage proche qui sera au courant va l'accepter aussi bien que les autres (ma mère n'a pas eu des réactions très positives, c'était très dur pour moi car elle est contre le don et pense qu'il y aura des répercutions)"
Ma mère aussi a eu du mal (question de génération !) "Tu fais la plus grosse bêtise de ta vie ! L'adoption, mon médecin était contre, ce ne sont que des problèmes à venir, etc." (ps : c'est un don d'ovocyte, pas une adoption, mais bon !)
 tout comme ma belle-mère : "mais pourquoi vouloir un second enfant ? Tu en as déjà 1 !"  :-\
- "est-ce que mes enfants ne causeront-ils pas "de difficultés" par rapport à ces différences de conception ? (je leur dirai en temps voulu, mais quand ?)"
Mon fils est au courant de mes difficultés à avoir un second bébé, de mon envie d'une petite fille, il y a son envie d'avoir un frère ou d'une soeur, comme ces copains.
Je lui ai dit que je n'avais plus de graines à bébé depuis que quelques années, que j'avais demandé de l'aide à de gentils docteurs et à une dame qui m'avait donné une graine. Comme dans l'histoire de "La petite Poucette", j'ai aussi acheté le livre sur les graines de bébé pour pouvoir lui lire.
Alors, je pense qu'il faut en parler, le plus tôt possible, pour que les enfants n'aient pas l'impression qu'il y a un secret, un problème à cacher (venant d'eux) et qu'ils puissent répondre aux éventuelles questions inquisitrices des adultes ou des enfants, au sujet de leur "non-ressemblance";
- "est-ce que mon futur enfant ne souffrira pas du fait que son frère et sa soeur sont issus de mes gènes, ou comment l'éviter ?"
Je ne suis pas sure que les histoires de gênes passionnent autant les enfants que les adultes... :-)
Ils auront des parents aimants, c'est le plus important.
- "comment faire pour que les "jeux de ressemblance" de famille ne me pèsent pas ? (spécialité de ma belle famille... et ils ne sauront pas dans un 1er temps)"
On ne peut pas éviter le jeu des ressemblances, même quand les enfants sont génitiquement de leurs parents ! Moi, j'ai passé des semaines à scruter mon nouveau né pour trouver d'où lui venait ces grandes oreilles décollées !! Je trouvais qu'il était bizarre. J'ai incriminé, intérieurement, le grand-père de mon mari avant de comprendre que c'était les gênes du frère de mon père !!!
Bon, j'adore les arbres généalogiques, les vieilles photos de famille et c'est aussi pour cela que je voulais une photo de ma donneuse, pour l'intégrer à mon arbre généalogique, pour que la petite puisse s'appuyer sur une histoire, la nôtre, sans ombre.
On peut se parler si tu veux et puis, moi, j'ai consulté le docteur Geneviève Delaissi pour réfléchir à tout cela. L'important, c'est que toi tu sois sereine, autant que possible, par rapport à tes enfants !

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Bonjour Renaissance, Miss Accacia et les autres contibutrices aux échanges du forum.

Moi aussi, j'ai eu un petit garçon, naturellement, il y a bientôt 7 ans et après... Diagnostique de ménaupose précoce posé à 37 ans de manière précise, débutée plutôt vers 36 ans. La spécialiste de la fertilité de l'Hôpital de Créteil m'a tout de suite parlée de don d'ovocytes, sujet auquel je n'avais jamais pensé. J'ai tout de suite cherché des infos sur l'adoption internationnale, plutôt en Asie. Vu les difficultés à afffronter et l'opposition de mon époux à l'adoption, je me suis renseigné du le don d'ovocytes, en France et à l'étranger, avec une réticente très importante pour l'anonymat car je ne me voyais pas avoir un enfant qui, non seulement ne me ressemblerait pas, mais en plus, à qui il ressemblait ! J'ai mis plus d'1 an à en discuter autour de moi, à lire et à réfléchir, avant de me décider pour un don à l'étranger, dans un pays où l'on peut avoir accès à des infos médicales, sur la donneuse, avec sa photo, repoussé encore d'un an pour réunir le budget et en août 2014, mon mari et moi sommes allés en Thailande faire notre "bébé n°2" !
Bref, nous sommes européens tous les 2, mon mari blond aux yeux bleus, moi chatain foncé et yeux noisette, notre petit garçon est blond aux yeux verts et ressemble beaucoup à mon côté de la famille... et nous allons avoir une petite fille eurasienne, qui avec de la chance ressemblera à son papa.... ou bien à sa jolie donneuse thaï ! Alors, oui, ça me pose tout de même questions, mais je me fiche du regard des autres, on va l'aimer ce petit bébé ! Et il n'y aura pas de secret, ni pour mon fils, ni pour les autres, puisque j'en ai parlé à l'avance. C'est assez perturbant cette absence de filiation génétique de la mère, mais bon, ce n'est pas ça qui fait "famille", c'est l'amour et la vie partagée ensemble. Moi, je suis euphorique d'attendre mon second enfant, si désiré, d'avoir bientôt une fratrie à élever, même si nos deux enfants ne se ressembleront sans doute pas beaucoup au premier regard. Alors, il faut avoir confiance... dans la vie et dans l'amour !

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Bonjour !
Oui, nous avons concrétisé le projet bébé n°2 en Thaïlande cet été !
L'organisation a été préparé à distance, par mail, avec mon contact anglophone de la clinique, pendant plusieurs mois (j'étais en contact avec elle depuis l'hivers 2013, j'ai pu poser pleins de questions !).
Elle m'a envoyé fin juin un planning (Time line : dates de prise de médicaments, examens de contrôle, don d'ovocyte et de sperme, implantation, date de retour) concernant la donneuse et la receveuse pour les mois de juillet et aout.

On est parti le 18 aout de Paris et revenu le 30, avec un petit embryon bien au chaud en moi !
Nous avons passé seulement 2 semaines sur place :
une demi-journée dans la clinique pour le don de sperme de mon époux + la ponction d'ovocytes sur la donneuse (que nous avons rapidement pu croiser et remercier) = fécondation in vitro, puis nous sommes allés nous balader autour de Bangkok pendant nos 4 jours sans suivi médical (Ayuthaya, l'ancienne capitale, et Chanchanaburi avec les cascades à 7 paliers d'Erawan), histoire de découvrir la Thaïlande pendant que les petits embryons grandissaient.
Une sélection de 10 a été analysés à j+3 (diagnostic préimplantatoire avec dépistage trisomie et identification du sexe possible), puis à J+5, le mieux développé, sans anomalie génétique, a été implanté.
Grâce au don d'ovocyte de donneuse de moins de 30 ans, au diagnostique pré-préimplantatoire, à la culture prolongée (5 jours) des embryons et à l'étude de leurs caractéristiques, le taux de réussite est de 60% !
Après implantation, 5 embryons de bonne qualité sont congelés pour 1 an (dans le pack du contrat), en cas d'échec de la première implantation ou pour un second bébé.
Il faut compter 6 à 8000 euros (+ l'avion et le séjour sur place), mais les chances de réussite sont là !
Les équipes sont vraiment pro et la clinique high-tech, au mobilier design et à la clientèle internationale !
J'ai croisé un couple de suédois dont l'épouse était d'origine chinoise dans l'ascenseur !
Après implantation, 2 jours de repos sans exercice physique intense (repos au bord de la piscine), puis ballade dans Bangkok et on pouvait repartir.
Là, je suis enceinte d'1 mois ! C'est le tout début, mais un bon début !

7
Bonjour !

J'avais vu votre message... l'an dernier, mais je n'y avais pas répondu car j'étais moi-même en pleine réflexion pour un don d'ovocyte en Thaïlande.
Avez-vous concrétisé votre projet ?

Comme la législation est différente de celle européenne, il n'y aura pas de partenariat de l'association avec ce centre, d'après ce que j'ai pu comprendre.

Seulement, d'un point de vue individuel, la "possibilité de voir la photo de la donneuse et d'avoir quelques informations succinctes" sur elle, cela me rassure et ce peut-être un atout en cas de demande d'information d'un enfant (à venir) sur ses origines.
Un diagnostique préimplantatoire est aussi possible (autant éviter d'implanter un embryon ayant de gros soucis génétiques!)...
Alors, même si je ne suis pas d'origine asiatique, ni même mon mari, cela continue de m'intéresser !

2014 sera, je l'espère, l'année d'un second bébé (j'ai eu par chance un premier enfant, naturellement) sous le soleil de la Thaïlande !

N'hésitez pas à me contacter !
Cordialement,

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